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La peur du vide

La peur du vide se manifeste par un inconfort face à l'absence de contenu, d’émotion, d'activité, ou de sens. 

Mais de quel vide ai-je le plus peur? 

Le vide physique

La peur du vide physique peut désigner l’insécurité par apport aux biens matériels. Par exemple, avoir la tendance à vouloir remplir tout espace vide dans une maison avec toutes sortes d’objets, ou toutes sortes de décorations. Certains se sentent plus en sécurité lorsque plusieurs objets les entourent. 

Le vide émotionnel

Ce type de peur peut surgir dans des moments de transition, comme après une rupture, un deuil, une perte d’emploi, ou après une grande étape de réalisation. 

Durant ces passages, la solitude, le manque de sens, ou le manque d’activités peuvent engendrer de l’anxiété un sentiment d’absence, ou un vide qui peut aller jusqu’à un sentiment de dévalorisation.

Certaines personnes tentent d'occuper chaque espace disponible dans leur horaire pour ne pas faire face à la solitude, travailler de nombreuses heures afin de combler le manque sans pour autant se sentir comblé. 

Le vide existentiel

Cette peur est souvent abordée dans la philosophie existentielle, en ce questionnement sur le sens de la vie, et le sens de nos actions quotidiennes. Est-ce qu’elles ont un réelles impact?

Ce questionnement peut être amplifiée par la solitude, ou les grands passages de la vie : l’enfantement, la recherche d’un emploi, la crise de la quarantaire, etc. 

Pourquoi avons-nous peur du vide ?

La peur du vide est enracinée dans notre besoin fondamental de structure, de sécurité et de sens. 

Devant le vide, on est confronté à l’inconnu et à l’incertitude, cela peut déclencher une réponse de lutte ou de fuite.

Apprivoiser le vide 

Cependant, apprendre à apprivoiser le vide peut transformer le malaise en une opportunité. 

Le vide n’est pas un échec, mais un espace. 

Le vide n’est pas vide, mais on doit trouver ce qui s’y trouve. 

En prenant le temps de respirer, et de ressentir sans jugement. D’écouter au fond de soi, et de découvrir des blessures, des joies et des peines enfouies. On peut laisser jaillir ce qui surgit du vide, pour faire de la place à ce qui est au fond de soi. 

Ensuite, un nouvel espace sera créé pour faire place à un nouvel ancrage. 

Trouver un point d’ancrage

Même dans le vide, il y a des points d’ancrage. 

Notez trois choses pour lesquelles vous êtes reconnaissant. 

Cette pratique a démontré son efficacité pour élever le moral, et changer notre perception du moment présent.

Ce moment peut être vu comme une toile vierge, prête à accueillir de nouvelles couleurs. 

Transformez le vide en temps de repos

Le vide peut être perçu comme un espace de repos, de créativité ou de renouveau.

L’absence d’activité est une opportunité pour recharger vos batteries. 

Un moment idéal pour savourer un breuvage réconfortant comme LE JAZZ ou le BACHATA des Siffleux. Ces alternatives au café offrent une énergie douce tout en rappelant la chaleur et le réconfort d’un moment précieux avec soi-même.

Explorez votre créativité

Profitez de cet espace pour exprimer votre créativité. 

Écrivez, peignez, cuisinez une recette unique avec le TANGO ou le BLUES

Ces moments d’exploration peuvent transformer un vide en une expérience enrichissante.

Connectez-vous à l’essentiel

Les moments de vide permettent souvent de revenir à l’essentiel. 

Écoutez votre musique préférée (peut-être un bon morceau de jazz ?) et savourez le calme. 

Ralentir pour mieux avancer est parfois tout ce dont nous avons besoin.

 

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